HealthNest

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Après une première édition réussie, HealthNest continue d’aider le secteur de la santé à améliorer la littératie en santé des Belges

Les concepteurs d’idées sur la littératie en santé ont la chance de gagner un programme de coaching, avec le soutien d’acteurs importants du secteur belge de la santé

Mercredi 18 septembre 2019 —Bruxelles – La deuxième édition de HealthNest, l’incubateur d’idées visant à une meilleure littératie en santé en Belgique, commencera le 16 septembre. L’enjeu est un programme de coaching pour les projets gagnants, qui est soutenu par les 16 organisations partenaires du projet organisé par MSD, un acteur mondial dans l’industrie pharmaceutique. C’est une occasion unique de mettre en pratique des idées novatrices et percutantes.

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Rapport Annuel 2018

Rapport Annuel 2018

Le rapport annuel donne un aperçu des activités de l’UGIB en 2018. Une année au cours de laquelle l’UGIB a continué à travailler, grâce à ses membres, pour le développement de qualité de la profession et le bien-être au travail des infirmiers. En défendant constamment nos points de vue et nos valeurs, nous avons influencé le processus décisionnel et l’opinion publique sur la profession et les soins infirmiers. Vous pouvez lire le rapport annuel 2018 ici.

Rapport annuel d’activité AUVB-UGIB-AKVB 2018.pdf


Les "Blouses blanches"

Les „Blouses blanches“

Madame, Monsieur,

Ces dernières semaines, un certain nombre d’actions ont eu lieu dans les hôpitaux bruxellois (réseau hospitalier IRIS), les mardis des “ blouses blanches „. Nous avons également été informés d’une demande de grève qui devait être planifiée fin juin dans les hôpitaux de la Région de Bruxelles-Halle-Vilvorde.

Certains membres nous ont demandé quelle était la position de l’Union Générale des Infirmier(e)s de Belgique sur ces mesures.

En réponse à ces questions, l’UGIB rappelle sa position telle qu’exprimée dans son Mémorandum Politique 2019. Ces points ont également été transmis aux différents présidents des partis politiques juste avant les élections.

Priorités au niveau du Gouvernement fédéral :

Augmenter la qualité des soins pour le patient en réduisant la charge de travail et le stress lié au travail des infirmiers. Cela peut se faire par le biais d’un allègement de la charge de travail en fonction du nombre de patients par infirmier et par horaire pour l’aligner à la moyenne européenne. Concrètement, cela signifie une réduction de la prise en charge des infirmiers de 11 à 8 patients et implique une augmentation du nombre d’infirmiers au chevet du patient, une clarification des tâches, une diminution du travail administratif, une suppression progressive des soins superflus, etc.

Les infirmiers constituent le groupe professionnel le plus large. Leur représentation au sein des organes consultatifs officiels, tant au niveau fédéral qu’institutionnel, doit donc s’y conformer. L’implication des infirmiers peut être renforcée par la garantie d’une représentation réelle et équilibrée de la profession infirmière dans les processus décisionnels les concernant et, de manière plus générale, dans les dispositions relatives aux établissements de soins de santé (CFEH, commissions de conventions de l’INAMI, réseaux hospitaliers, IFIC, etc.). En outre, un financement suffisant et récurrent doit être mis en place pour l’Union Générale des Infirmier(e)s de Belgique, et des incitants doivent également être proposés pour encourager l’affiliation des infirmiers aux organisations professionnelles.

Attribution d’un seul titre professionnel infirmier, à savoir celui « d’infirmier responsable des soins généraux », au niveau bachelier (niveau de qualification 6) avec une filière de formation euroconforme de 4 ans. La qualité de la formation en soins infirmiers doit obtenir le titre européen pour permettre de dispenser des soins de qualité, rendre possible l’évolution future de la profession et en promouvoir l’image.

Priorités au niveau des Gouvernements régionaux et communautaires :

Chaque bénéficiaire de soins devrait savoir avec certitude quel prestataire lui administre ses soins. Cela implique un profil professionnel reconnu et un profil de formation pour chaque niveau de qualification (niveaux 3 à 7) avec des responsabilités et des activités clairement identifiées.

Cela est rendu possible par :

  • le modèle de fonctions pour les soins infirmiers du futur  élaboré par le Conseil fédéral de l’art infirmer, qui fera l’objet d’un suivi ;
  • et l’harmonisation de la formation aux profils professionnels établis par le Conseil fédéral de l’art infirmier.

Il en résulte :

  • des descriptions de tâches des infirmiers claires et orientées vers l’avenir (avec le contenu et les possibilités offertes par la profession) ;
  • dans les différents domaines professionnels (p. ex. : la prévention) ;
  • une prise en compte de la digitalisation du domaine d’activité ;
  • et une exécution sûre et de qualité (avec délégation, diagnostic infirmier, subsidiarité, etc.).

Mesures visant à obtenir un effectif suffisant et plus nombreux d’infirmiers en vue de dispenser des soins de qualité aux patients. Cela implique également un changement dans la perception de la profession infirmière, qui évolue d’un poste de dépenses à un professionnel apportant une valeur ajoutée substantielle aux soins de santé mentale et aux soins de santé physique qui, ensemble, assurent une augmentation du bien-être social.
Pour assurer cette valeur ajoutée, le visa d’exercice de la profession infirmière doit garantir un « permis d’exercer », une formation euroconforme avec accréditation, la fourniture d’un EBP et de soins de qualité, la possibilité de suivre des spécialisations et la formation continue avec soutien financier et remplacement sur le terrain.

Bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée pour les infirmiers. En d’autres termes :

  • opportunités et moyens financiers pour une rémunération correcte, où les soins à domicile gagneront également en importance dans un avenir proche et seront valorisés par une nomenclature élargie ;
  • organisation flexible du travail pour les infirmiers ;
  • représentation suffisante des infirmiers dans le domaine professionnel en vue d’assurer des soins de qualité et de réduire à la fois la charge de travail et le stress qui en découle. Cela sera également profitable au demandeur de soins et aux autres prestataires de soins.

Nous espérons que ces priorités contribueront à exprimer les arguments en faveur des actions.

 

L’équipe de Coordination AUVB-UGIB-AKVB


L'Union Générale des Infirmiers de Belgique va au Conseil d'Etat

L’Union Générale des Infirmiers de Belgique va au Conseil d’Etat

L’Union Générale des Infirmiers de Belgique (AUVB-UGIB-AKVB) a déposé un recours en annulation auprès du Conseil d’État de l’Arrêté royal du 27 février 2019 modifiant l’Arrêté royal du 12 janvier 2006 fixant les activités infirmières qui peuvent être effectuées par des aides-soignants et les conditions dans lesquelles ces aides-soignants peuvent poser ces actes. L’AR a été publié au Moniteur belge le 18 mars 2019 et entrera en vigueur le 1er septembre 2019.

En soi, cette mesure n’est pas mauvaise. Dans un secteur des soins de santé en pleine croissance, toute aide est en effet la bienvenue. L’élargissement de l’éventail des tâches dévolues aux aides-soignants permet aux infirmiers de disposer de plus de temps et d’espace pour mettre leurs connaissances plus spécialisées au service du patient. Cependant, l’impact de cette mesure est insuffisant. Selon l’AUVB-UGIB-AKVB, les exigences de formation pour les actes infirmiers supplémentaires sont manifestement insuffisantes pour garantir la qualité des soins. Non seulement la responsabilité médicale légale des infirmiers, sous la supervision desquels des aides-soignants travaillent, est compromise, mais la santé publique et la sécurité des patients sont également mises à mal. Comme l’arrêté attaqué n’offre manifestement pas de garanties de qualité suffisantes, l’organisation faîtière dépose ce recours.

Cinq tâches supplémentaires

Aujourd’hui, les aides-soignants peuvent poser 18 actes infirmiers spécifiques sur délégation d’un infirmier. Il s’agit, par exemple, des soins d’hygiène des patients, de la prise du pouls et de la température corporelle du patient, ainsi que de mesures de prévention des infections ou des escarres. Aujourd’hui, cinq tâches spécifiques sont ajoutées, comme l’administration de gouttes ophtalmiques ou la mesure du taux de sucre ou de la tension artérielle. Les entités fédérées doivent dès lors veiller à ce que, à partir du 1er septembre 2019, la formation de base soit adaptée afin que les futurs aides-soignants diplômés disposent des compétences adéquates. Selon le nouvel AR, pour pouvoir effectuer les tâches supplémentaires, les aides-soignants actuels devront suivre une formation d’au moins 150 heures effectives dont la moitié peut être constituée de stage. Les aides-soignants en activité qui ne peuvent pas ou ne souhaitent pas suivre cette formation pourront continuer à travailler en tant qu’aides-soignants, mais ne seront pas autorisés à effectuer ces tâches supplémentaires.

Un titre professionnel, trois types d’aides-soignants

Selon l’AUVB-UGIB-AKVB, la création de trois catégories d’aides-soignants (les aides-soignants actuels avec ou sans formation supplémentaire et les futurs aides-soignants), en combinaison à des exigences de formation insuffisantes, est préoccupante. Il ne sera pas possible pour les infirmiers (et les établissements de soins) de déterminer, sur la base du titre professionnel, quels types de soins un aide-soignant est ou non autorisé à poser. Cette situation suscite beaucoup de confusion et d’incertitude auprès des divers professionnels de la santé.

L’AUVB-UGIB-AKVB constate également que pour les aides-soignants existants, les efforts requis et les exigences de formation sont disproportionnellement plus lourds que pour les futurs aides-soignants. L’arrêté attaqué ne prévoit pas non plus de mesure transitoire : même les personnes qui ont suivi une formation d’aide-soignant (ou la première année de soins infirmiers) au cours de l’année académique 2018-2019, doivent suivre ces 150 heures de formation supplémentaire pour pouvoir poser ces actes supplémentaires.

Pas d’élargissement des compétences sans formation appropriée

Cet élargissement et/ou cette modification très limités des exigences de formation des aides-soignants sont loin d’être suffisants pour former les aides-soignants à poser ces nouveaux actes infirmiers qui sont bien plus complexes que les actes qu’ils pouvaient poser à ce jour. Pire encore, cette situation met la santé publique en danger. Avant même de parler de formation supplémentaire, la formation de base est déjà insuffisante pour enseigner les compétences requises !

Avant même l’élaboration de cet arrêté, l’AUVB-UGIB-AKVB a attiré l’attention de la Ministre De Block sur les dangers en matière de santé publique liés à l’absence de formation adéquate des aides-soignants actuels et futurs en vue d’acquérir les compétences nécessaires aux tâches qui leur sont confiées. La Commission Technique de l’Art Infirmier (CTAI) et le Conseil fédéral de l’art infirmier (CFAI) ont appuyé cette initiative. Ces deux instances sont très claires à ce propos : pour que les aides-soignants puissent poser les actes infirmiers supplémentaires, il convient, d’une part, de renforcer et/ou de prolonger la formation existante et, d’autre part, d’améliorer le niveau de fonctionnement des aides-soignants actuels. In fine, il conviendrait d’arriver à une formation de deux ans et 1 280 heures après l’enseignement secondaire.


« Future of Nursing: improving health, driving change »

« Future of Nursing: improving health, driving change »

Le symposium « Future of nursing: improving health, driving change (avenir des soins infirmiers : améliorer la santé, susciter le changement) : une vision future des soins infirmiers » s’est tenu à Bruxelles les jeudi 30 novembre et vendredi 1er décembre 2017.

Ce symposium fut l’occasion d’aborder la perspective de réforme de l’arrêté royal n° 78 du 10 novembre 1967 relatif à l’exercice des professions des soins de santé, qui après cinquante ans ferait place à un nouveau cadre juridique destiné à redessiner la répartition des pouvoirs des différents praticiens dans le secteur des soins de santé.

Cette journée d’étude était axée sur le domaine des soins infirmiers.  Le rapport scientifique « future of nursing – driving change » a été rédigé suite à ces journée des rencontres infirmières 2017 (Sermeus W., Eeckloo K., Van der Auwera C., Van Hecke A. (2018) « Future of Nursing: improving health, driving
change » : Leçons tirées de la littérature internationale et des journées organisées en 2017 sur ce thème », SPF Santé Publique, Sécurité de la
Chaine Alimentaire et Environnement, 29p.
)

La première partie de ce rapport décrit les évolutions au sein de la formation et de la profession d’infirmière. La seconde partie aborde les principales conclusions du symposium et des ateliers afin de formuler un certain nombre de recommandations pour l’avenir.


Communiqué de Presse - Le Projet de Loi modifiant la Liste d'Actes qui peuvent être effectués par des Aides-Soignants

Communiqué de Presse – Le Projet de Loi modifiant la Liste d’Actes qui peuvent être effectués par des Aides-Soignants: la Part Cachée de l’Iceberg

Bruxelles, 11 décembre

Le 5 décembre 2018, l’Union Générale des Infirmiers de Belgique (AUVB-UGIB-AKVB) s’est entretenue avec le cabinet de la Ministre de la Santé Publique Maggie De Block. Durant la réunion le cabinet a présenté son projet d’Arrêté Royal (AR) concernant l’élargissement des activités infirmières (prestations techniques de l’Art infirmier) pouvant être déléguées aux aides-soignants. L’AUVB-UGIB-AKVB n’a reçu aucun document de travail au préalable de la part du cabinet à propos de ce projet afin de pouvoir donner son avis de manière éclairée.
Ce projet modifie l’arrêté royal du 12 janvier 2006 fixant les activités infirmières qui peuvent être effectuées par des aides-soignants et les conditions dans
lesquelles ces aides-soignants peuvent poser ces actes. Concrètement il s’agit d’ajouter 150 heures de formation complémentaire à la formation de base
actuelle des aides-soignants. Ils pourront ainsi réaliser certaines activités infirmières sous la supervision de celles-ci.

Le projet de modification d’AR tel qu’il est présenté actuellement est inacceptable. L’AUVB-UGIB-AKVB rejette ce projet ; le niveau de formation complémentaire pour les aides-soignants proposé dans ce projet d’AR est gravement insuffisant pour assurer la qualité des soins et la sécurité des patients.
L’extension de la délégation d’actes infirmiers nécessite que les aides-soignants actuels et futurs aient les compétences et les qualifications requises pour réaliser les actes délégués, sous la responsabilité de l’infirmier.
Une formation adéquate garantit que les aspects théoriques et pratiques liés aux différents actes délégués soient acquis et maitrisés par ces mêmes
aides-soignants.
Sans cette formation, qui atteste que les aides-soignants ont acquis les compétences requises pour l’exécution de ces actes, l’extension des actes délégués aux aides-soignants, établie par le cabinet, est dangereuse . En effet, en plus des gestes techniques, la connaissance et compréhension de l’acte posée reste primordiale.
L’AUVB-UGIB-AKVB se rallie ainsi au Conseil Fédéral de l’Art Infirmier (CFAI) et à la Commission Technique de l’Art Infirmier (CTAI) qui n’approuvent pas non plus ce projet.

Pour rappel, le CFAI et le CTAI sont des organes d’avis officiel qui ont pour mission de donner des conseils aux ministres (de la santé, de l’enseignement) et dont ils devraient (logiquement) tenir compte. En juillet 2016, la ministre de la Santé Publique a fait abroger « l’avis conforme » du CTAI en faisant observer que certains arrêtés royaux sont pris sur avis conforme, c’est-à-dire avec l’obligation de suivre entièrement l’avis. Aujourd’hui la suppression de
cette obligation risque d’engendrer des dérives et une régression de notre système de santé et système de soins.

L’Union Générale des Infirmiers de Belgique propose que, pour le futur,  l’extension des activités des aides-soignants actuels aille de pair avec une formation de 1280 heures (cfr. Avis du CFAI, CFAI/2018/AVIS-06), conduisant à un nouveau titre, une nouvelle fonction et un barème adéquat (que le cadre IFIC devra prendre en considération).
Si l’avis du CFAI, soutenu par l’AUVB-UGIB-AKVB, n’est pas suivi par la Ministre, la position de l’AUVB-UGIB-AKVB est de ne rien changer ni aux activités, ni au titre de l’aide-soignant actuel.

L’AUVB-UGIB-AKVB met en garde (les politiques, les professionnels de la santé et la population) et incite la Ministre de la Santé Publique à plus de prudence et à une réelle concertation des parties prenantes.

La RTBF et LE VIF ont (chacun) publié un article à ce sujet.


Appel à Projet pour renforcer les compétences en matière de santé

Appel à Projet pour renforcer les compétences en matière de santé

L’appel à projet du fonds Dr. Daniël De Coninck, géré par la Fondation Roi Baudoin, s’adresse aux organisations de la société civile, aux entrepreneurs (sociaux), professionnels de première ligne, aux associations de patients, e.a

Ceux-ci choisissent le ou les niveaux auxquels ils souhaitent intervenir pour renforcer les compétences en matière de santé et de soins. Ils font ce choix en fonction des besoins de leurs groupes cibles, des ressources et des compétences disponibles.

Vous trouverez plus d’informations sur la déposition d’un dossier de candidature en cliquant ici


Un Nouveau Film sur les Infirmier(e)s

Un Nouveau Film sur les Infirmier(e)s: De Chaque Instant

Nous vous invitons de voir le documentaire ‘De Chaque Instant’ au cinéma à partir du 5 décembre. Ce beau film sur des étudiants en soins infirmiers en France a été réalisé par Nicolas Philibert.

Vous pouvez voir ce film à Bruxelles au centre culturel Flagey, Place Sainte-Croix, 1050 Bruxelles
À Liège au Churchill (le 5/12) , et à Namur au Cameo (le 6/12)
La bande d’annonce est disponible via le site de Cineart


Des Organisations de soins de première ligne et le ministre Vandeurzen donnent un Coup de Pouce au Schéma de Médication

Des Organisations de soins de première ligne et le ministre Vandeurzen donnent un Coup de Pouce au Schéma de Médication

Le 14 novembre 2018, plusieurs organisations faitières de soins de première ligne ont présenté une note au ministre. Cette note se prononce sur le rôle du médecin généraliste, le pharmacien, l’infirmier à domicile et le patient dans le processus pour le partage et la gestion d’un schéma de médication.

Mr. H. Van Gansbeke (NVKVV) et Mme C. Van Cante (Mederi), dont les organisations respectives sont membre du AUVB-UGIB-AKVB, étaient là lors de cette
présentation.

Vous pouvez consulter le document complet en cliquant ici.

(ce document n’est pas disponible en Français, pour plus d’info contactez nous via info@ugib.be ou via le 02/709/20/70)


News: l' AUVB-UGIB-AKVB dans la Presse

News: l‘ AUVB-UGIB-AKVB dans la Presse

Cette semaine, plusieurs articles concernant les Infirmiers de Pratique Avancée sont parus dans la presse.

Le président de notre organisation – Mr. Yves Mengal – est cité dans La Libre Belgique à la date du 13 novembre 2018. Vous pouvez consulter l’article « Des infirmiers spécialisés pour suppléer les médecins » via le lien suivant

Un deuxième article sur les Infirmiers de Pratique Avancée (IPA) dans lequel Mr. Mengal est cité est paru dans Sudinfo. Les commentaires de Mme Lieve Goossens, présidente du Belgische Vereniging voor Verpleegkundig Specialisten sont aussi reprises dans cet article, que vous pouvez intégralement consulter via Sudinfo

La plateforme 7sur7 a aussi dédié un article à propos de ce sujet, vous pouvez lire le lire via le lien suivant